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Titre : La cité : La bataille des confins -Tome 2 Type de document : texte imprimé Auteurs : Karim Ressoum-Demigneux, Auteur Editeur : Rue du monde, 2011 Langues : Français (fre) Résumé : Il y a quelques mois, nous vous avons parlé du premier tome de cette trilogie.
Nous y avons fait la connaissance de Thomas, un jeune Parisien qui, comme dix millions de Terriens, s’est inscrit à ce jeu novateur, la fameuse « Cité », et y est devenu rapidement accro. On joue dans la Cité sans en connaître au départ aucune règle ni le but ultime. Les joueurs et leurs avatars y découvrent un univers très vaste, urbain, et y ressentent sensations et émotions comme dans la vie réelle. Tout le monde se comprend dans cette Babel à découvrir car les langues sont traduites automatiquement par le jeu.
Dans ce deuxième volume, la narratrice est Polly (qui joue sous le temps de Lizza) et qui est l’une des amies virtuelles de Thomas / Harry.
Polly vit à Sark, minuscule île anglo-normande proche de Guernesey. La Cité est pour elle un moyen de s’évader d’une existence tranquille, partagée entre sa mère et Ben, son meilleur ami, qui refuse de jouer. Aussi sent-elle qu’ils s’éloignent l’un de l’autre et que la tension monte entre sa mère et elle.
Dans la Cité, elle retrouve Thomas / Harry et JC, et elle s’installe dans une grande maison de verre. Le trio s’est fixé plusieurs objectifs : retrouver leur ami Arthur, disparu dans des circonstances mystérieuses, parler librement de leur vraie vie sans que la Lumière blanche du jeu ne les rappelle à l’ordre, arpenter la ville pour en comprendre l’organisation, explorer les Enclaves, le cimetière, les Confins mystérieux, éclaircir le mystère des feuilles blanches qu’ils trouvent et qu’il faut plonger dans un révélateur photographique pour y lire quelque chose, savoir ce que deviennent les Ombres qui sont les avatars des joueurs ayant abandonné le jeu. Et bien sûr découvrir le but du jeu, l’identité et les motivations de ses concepteurs. Parallèlement à cela, Polly entame une quête personnelle, liée à un chiffre mystérieux de sa vie réelle et à son arrivée à Serk lorsqu’elle était bébé. Ce chiffre, elle le retrouve dans la Cité. Pourquoi ?
Dans le premier tome, Karim Ressouni-Demigneux a su d’emblée capter le lecteur en l’emmenant, avec des personnages adolescents auxquels il a pu s’identifier rapidement, dans un monde singulier, sans repères et très intriguant. De nombreuses questions ont été soulevées.
Dans ce deuxième volume, le point de vue est légèrement décalé puisque la narratrice est une jeune fille isolée sur une île, qui donne un autre ton, une autre sensibilité. Elle a une histoire personnelle énigmatique, qui interfère dans l’univers virtuel où elle vit avec passion. Nous obtenons seulement quelques éléments de réponses mais, dans l’ensemble, le suspense reste entier. Nous devrons donc patienter encore quelques mois pour découvrir la conclusion de cette trilogie.Nature du document : fiction Thème de fiction : adolescence/aventure/jeu Genre : roman Niveau : 3/4/BAC PRO La cité : La bataille des confins -Tome 2 [texte imprimé] / Karim Ressoum-Demigneux, Auteur . - Rue du monde, 2011.
Langues : Français (fre)
Résumé : Il y a quelques mois, nous vous avons parlé du premier tome de cette trilogie.
Nous y avons fait la connaissance de Thomas, un jeune Parisien qui, comme dix millions de Terriens, s’est inscrit à ce jeu novateur, la fameuse « Cité », et y est devenu rapidement accro. On joue dans la Cité sans en connaître au départ aucune règle ni le but ultime. Les joueurs et leurs avatars y découvrent un univers très vaste, urbain, et y ressentent sensations et émotions comme dans la vie réelle. Tout le monde se comprend dans cette Babel à découvrir car les langues sont traduites automatiquement par le jeu.
Dans ce deuxième volume, la narratrice est Polly (qui joue sous le temps de Lizza) et qui est l’une des amies virtuelles de Thomas / Harry.
Polly vit à Sark, minuscule île anglo-normande proche de Guernesey. La Cité est pour elle un moyen de s’évader d’une existence tranquille, partagée entre sa mère et Ben, son meilleur ami, qui refuse de jouer. Aussi sent-elle qu’ils s’éloignent l’un de l’autre et que la tension monte entre sa mère et elle.
Dans la Cité, elle retrouve Thomas / Harry et JC, et elle s’installe dans une grande maison de verre. Le trio s’est fixé plusieurs objectifs : retrouver leur ami Arthur, disparu dans des circonstances mystérieuses, parler librement de leur vraie vie sans que la Lumière blanche du jeu ne les rappelle à l’ordre, arpenter la ville pour en comprendre l’organisation, explorer les Enclaves, le cimetière, les Confins mystérieux, éclaircir le mystère des feuilles blanches qu’ils trouvent et qu’il faut plonger dans un révélateur photographique pour y lire quelque chose, savoir ce que deviennent les Ombres qui sont les avatars des joueurs ayant abandonné le jeu. Et bien sûr découvrir le but du jeu, l’identité et les motivations de ses concepteurs. Parallèlement à cela, Polly entame une quête personnelle, liée à un chiffre mystérieux de sa vie réelle et à son arrivée à Serk lorsqu’elle était bébé. Ce chiffre, elle le retrouve dans la Cité. Pourquoi ?
Dans le premier tome, Karim Ressouni-Demigneux a su d’emblée capter le lecteur en l’emmenant, avec des personnages adolescents auxquels il a pu s’identifier rapidement, dans un monde singulier, sans repères et très intriguant. De nombreuses questions ont été soulevées.
Dans ce deuxième volume, le point de vue est légèrement décalé puisque la narratrice est une jeune fille isolée sur une île, qui donne un autre ton, une autre sensibilité. Elle a une histoire personnelle énigmatique, qui interfère dans l’univers virtuel où elle vit avec passion. Nous obtenons seulement quelques éléments de réponses mais, dans l’ensemble, le suspense reste entier. Nous devrons donc patienter encore quelques mois pour découvrir la conclusion de cette trilogie.Nature du document : fiction Thème de fiction : adolescence/aventure/jeu Genre : roman Niveau : 3/4/BAC PRO Réservation
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Exemplaires (1)
Cote Section Localisation Code-barres Disponibilité R RES fiction CDI 005325 Disponible
Titre : La cité : La lumière blanche -Tome 1 Type de document : texte imprimé Auteurs : Karim Ressoum-Demigneux, Auteur Editeur : Rue du monde, 2011 ISBN/ISSN : 978-2-35504-184-6 Langues : Français (fre) Résumé : Nouvelle série, nouvel univers centrés sur un groupe d’adolescents et sur un jeu révolutionnaire, La Cité.
Pour jouer à / dans La Cité, il faut faire partie des dix millions d’abonnés inscrits dans le monde et posséder les gants, le bonnet et le boîtier de connexion.
Thomas et Ludovic, deux lycéens parisiens font partie de ce groupe d’élus. Ils se sont choisi un avatar, ont traversé la lumière blanche qui marque l’entrée dans La Cité où ils font leurs premiers pas virtuels, chacun de leur côté.
La Cité est une ville immense, constituée de quartiers bien distincts, où l’on peut retrouver des bâtiments et monuments qui existent dans le monde réel. Aucune explication, aucune règle, aucun but ne sont donnés d’emblée aux joueurs qui doivent cependant respecter un interdit : ne pas parler de leur vraie vie sous peine d’être soumis aux effets douloureux de la lumière blanche.
A chacun de découvrir, de s’y trouver une place et des amis, de comprendre les pouvoirs dont on dispose, seul ou à plusieurs. La Cité captive, envoûte, inquiète et transforme vite les joueurs en une communauté très accrochée.
« Il existait maintenant un vocabulaire spécifique à La Cité, que les joueurs avaient naturellement inventé. On appelait notre première arrivée la « naissance », le « berceau » était le lieu où nous étions « nés ». On « entrait » dans La Cité, on s’y « réveillait » lorsqu’on ouvrait les yeux une fois la lumière blanche passée. On « pausait » lorsqu’on quittait le jeu. On était « exposé » quand on était à l’extérieur de La Cité et que son alter ego continuait d’y vivre. Avec certaines personnes, par exemple moi avec Arthur, on est « connectés ». Et ainsi de suite …
Au bout de quelques semaines, on avait aussi compris que le plaisir du jeu ne résidait pas seulement dans les promenades. » (p. 70)
Thomas tombe rapidement dans les filets de La Cité et, malgré les recommandations et les menaces de son père, très soucieux de son équilibre, il y passe beaucoup trop de temps, négligeant sa meilleure amie et son travail au lycée, oubliant sa passion pour la magie et l’illusion.
Avec ses amis virtuels, Arthur, Liza et JC, il vit une aventure exaltante dans un monde fascinant où des complots se trament bientôt, où ils doivent courir pour démasquer les traîtres et les voleurs qui sévissent. Le danger rôde.
Mais l’aventure ne fait que commencer …
Ce roman est comme le jeu dont il parle : il captive et capture le lecteur aussitôt. On s’attache bien vite au narrateur, Thomas, un ado plutôt bien dans sa peau, sa vie et sa famille au départ. L’une des grandes habiletés de Karim Ressouni – Demigneux est de placer le lecteur et le héros sur un même plan. C’est donc ensemble qu’ils découvrent La Cité et tentent d’en comprendre les mécanismes, la géographie et la mythologie naissante.
Le récit est bien écrit, très rythmé et émaillé de nombreuses références littéraires et artistiques, toujours introduites de manière pertinente. La poésie y tient une place singulière : trois poèmes permettent à Thomas et à Liza de vieillir, de rajeunir ou de se stabiliser à un âge particulier. L’idée est belle !
La Cité n’a pas livré tous ses secrets à la fin de ce premier tome. Il faudra patienter quelques mois avant de lire la suite. Cette série promet de belles heures de jeu et de lecture. Attention à l’addiction qui pourrait guetter nos jeunes lecteurs et les adultes !Nature du document : fiction Thème de fiction : adolescence/aventure/jeu Genre : roman Niveau : 3/4/BAC PRO La cité : La lumière blanche -Tome 1 [texte imprimé] / Karim Ressoum-Demigneux, Auteur . - Rue du monde, 2011.
ISBN : 978-2-35504-184-6
Langues : Français (fre)
Résumé : Nouvelle série, nouvel univers centrés sur un groupe d’adolescents et sur un jeu révolutionnaire, La Cité.
Pour jouer à / dans La Cité, il faut faire partie des dix millions d’abonnés inscrits dans le monde et posséder les gants, le bonnet et le boîtier de connexion.
Thomas et Ludovic, deux lycéens parisiens font partie de ce groupe d’élus. Ils se sont choisi un avatar, ont traversé la lumière blanche qui marque l’entrée dans La Cité où ils font leurs premiers pas virtuels, chacun de leur côté.
La Cité est une ville immense, constituée de quartiers bien distincts, où l’on peut retrouver des bâtiments et monuments qui existent dans le monde réel. Aucune explication, aucune règle, aucun but ne sont donnés d’emblée aux joueurs qui doivent cependant respecter un interdit : ne pas parler de leur vraie vie sous peine d’être soumis aux effets douloureux de la lumière blanche.
A chacun de découvrir, de s’y trouver une place et des amis, de comprendre les pouvoirs dont on dispose, seul ou à plusieurs. La Cité captive, envoûte, inquiète et transforme vite les joueurs en une communauté très accrochée.
« Il existait maintenant un vocabulaire spécifique à La Cité, que les joueurs avaient naturellement inventé. On appelait notre première arrivée la « naissance », le « berceau » était le lieu où nous étions « nés ». On « entrait » dans La Cité, on s’y « réveillait » lorsqu’on ouvrait les yeux une fois la lumière blanche passée. On « pausait » lorsqu’on quittait le jeu. On était « exposé » quand on était à l’extérieur de La Cité et que son alter ego continuait d’y vivre. Avec certaines personnes, par exemple moi avec Arthur, on est « connectés ». Et ainsi de suite …
Au bout de quelques semaines, on avait aussi compris que le plaisir du jeu ne résidait pas seulement dans les promenades. » (p. 70)
Thomas tombe rapidement dans les filets de La Cité et, malgré les recommandations et les menaces de son père, très soucieux de son équilibre, il y passe beaucoup trop de temps, négligeant sa meilleure amie et son travail au lycée, oubliant sa passion pour la magie et l’illusion.
Avec ses amis virtuels, Arthur, Liza et JC, il vit une aventure exaltante dans un monde fascinant où des complots se trament bientôt, où ils doivent courir pour démasquer les traîtres et les voleurs qui sévissent. Le danger rôde.
Mais l’aventure ne fait que commencer …
Ce roman est comme le jeu dont il parle : il captive et capture le lecteur aussitôt. On s’attache bien vite au narrateur, Thomas, un ado plutôt bien dans sa peau, sa vie et sa famille au départ. L’une des grandes habiletés de Karim Ressouni – Demigneux est de placer le lecteur et le héros sur un même plan. C’est donc ensemble qu’ils découvrent La Cité et tentent d’en comprendre les mécanismes, la géographie et la mythologie naissante.
Le récit est bien écrit, très rythmé et émaillé de nombreuses références littéraires et artistiques, toujours introduites de manière pertinente. La poésie y tient une place singulière : trois poèmes permettent à Thomas et à Liza de vieillir, de rajeunir ou de se stabiliser à un âge particulier. L’idée est belle !
La Cité n’a pas livré tous ses secrets à la fin de ce premier tome. Il faudra patienter quelques mois avant de lire la suite. Cette série promet de belles heures de jeu et de lecture. Attention à l’addiction qui pourrait guetter nos jeunes lecteurs et les adultes !Nature du document : fiction Thème de fiction : adolescence/aventure/jeu Genre : roman Niveau : 3/4/BAC PRO Réservation
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Cote Section Localisation Code-barres Disponibilité R RES fiction CDI 005490 Disponible
Titre : Contes nomades Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine Gendrin, Auteur Editeur : Rue du monde, 2011 ISBN/ISSN : 978-2-35504-159-4 Langues : Français (fre) Résumé : Mongols, Tsiganes, Touaregs ou Sioux, à cheval, en traîneau ou en roulotte... Voici 18 contes des peuples nomades, un jour ici, l'autre ailleurs, glanés sur les chemins du monde entier. Nature du document : fiction Genre : conte Niveau : 5/6 Contes nomades [texte imprimé] / Catherine Gendrin, Auteur . - Rue du monde, 2011.
ISBN : 978-2-35504-159-4
Langues : Français (fre)
Résumé : Mongols, Tsiganes, Touaregs ou Sioux, à cheval, en traîneau ou en roulotte... Voici 18 contes des peuples nomades, un jour ici, l'autre ailleurs, glanés sur les chemins du monde entier. Nature du document : fiction Genre : conte Niveau : 5/6 Réservation
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Cote Section Localisation Code-barres Disponibilité C GEN fiction CDI 006306 Disponible
Titre : Contes de l'olivier Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine Gendrin, Auteur Editeur : Rue du monde, 2011 ISBN/ISSN : 978-2-915569-97-1 Langues : Français (fre) Résumé : Voici réunies deux communautés habitués si souvent à se tourner le dos. Des collins d'Alger au mont Carmet, des rires de Jeha aux jugement du roi Salomon, de la femme-guenon du désert mauritanien aux métamorphoses d'Elie, ces histoires débordent d'intelligence, de vitalité et de désir de paix. Nature du document : fiction Genre : conte Niveau : 5/6 Contes de l'olivier [texte imprimé] / Catherine Gendrin, Auteur . - Rue du monde, 2011.
ISBN : 978-2-915569-97-1
Langues : Français (fre)
Résumé : Voici réunies deux communautés habitués si souvent à se tourner le dos. Des collins d'Alger au mont Carmet, des rires de Jeha aux jugement du roi Salomon, de la femme-guenon du désert mauritanien aux métamorphoses d'Elie, ces histoires débordent d'intelligence, de vitalité et de désir de paix. Nature du document : fiction Genre : conte Niveau : 5/6 Réservation
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Cote Section Localisation Code-barres Disponibilité C GEN fiction CDI 006302 Disponible
Titre : Frissons de foot à Bangui : Gbanda a yingi ! Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves PINGUILLY, Auteur Editeur : Rue du monde, 2010 Collection : Roman du monde Description : 111 p. ISBN/ISSN : 978-2-35504-117-4 Note générale : Zangba a 15 ans. Il habite à Bangui, en République centrafricaine. Cela fait longtemps qu'il a quitté l'école, et plus encore qu'il est orphelin. Son oxygène à lui, c'est le foot. Même sans chaussures, même le ventre vide, sur le terrain, il vibre. Les spectateurs aussi, tant son talent surpasse celui des autres. Il serait une excellente recrue pour la sélection juniors qui doit défendre les couleurs du pays. Mais comment réussir à s'imposer face à ceux dont les parents ont beaucoup d'argent et de pouvoirs ? Nature du document : fiction Thème de fiction : passion/pauvreté/sport Genre : roman Niveau : 5/6 Frissons de foot à Bangui : Gbanda a yingi ! [texte imprimé] / Yves PINGUILLY, Auteur . - Rue du monde, 2010 . - 111 p.. - (Roman du monde) .
ISBN : 978-2-35504-117-4
Zangba a 15 ans. Il habite à Bangui, en République centrafricaine. Cela fait longtemps qu'il a quitté l'école, et plus encore qu'il est orphelin. Son oxygène à lui, c'est le foot. Même sans chaussures, même le ventre vide, sur le terrain, il vibre. Les spectateurs aussi, tant son talent surpasse celui des autres. Il serait une excellente recrue pour la sélection juniors qui doit défendre les couleurs du pays. Mais comment réussir à s'imposer face à ceux dont les parents ont beaucoup d'argent et de pouvoirs ?
Nature du document : fiction Thème de fiction : passion/pauvreté/sport Genre : roman Niveau : 5/6 Réservation
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Cote Section Localisation Code-barres Disponibilité R PIN fiction CDI 005326 Disponible
